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CONFERENCE PUBLIQUE DU 8 DECEMBRE 2017
L’Afrique et le monde entier ont été secoués ces derniers temps par des images de la chaine américaine CNN montrant ce qui pouvait apparaitre comme la vente de migrants d’Afrique Noire en route pour l’Europe et coincés depuis un certain temps en Libye. Ces images qui rappellent les heures sombres de l’esclavage subi par les noirs pendant des siècles et qui se poursuit dans certains pays, ont soulevé un tollé général à travers le monde. Qui en effet ne se révolterait pas devant des images où en plein 21ème siècle, avec le niveau atteint par l’éthique, les hommes sont traités comme du bétail. Mais au-delà de cette indignation et de cette condamnation, il est bon de se demander pourquoi la Libye est devenue la porte d’entrée vers l’Europe, et surtout pourquoi dans la fleur de l’âge, des jeunes plein d’avenir se lancent dans l’aventure de l’immigration en Europe en sachant les risques qu’il y a au bout de leur tentative.
Macron, l'Afrique et nous
Elles se calment les vagues soulevées par une visite présidentielle. Celle d'Emmanuel Macron en Afrique. Visite ponctuée par trois escales : Ouagadougou, au Burkina-Faso ; Abidjan, en Côte d'Ivoire ; Accra, au Ghana. Jeune lui-même, le Président français a tenu à faire des jeunes africains ses interlocuteurs privilégiés. Non contemporain des drames de la colonisation et de la décolonisation, il se sentait à l'aise pour regarder les Africains dans le blanc des yeux et pour leur tenir un discours décomplexé. Désireux de tourner une page dans les relations entre la France et l'Afrique, il a dit qu'il n'y aura plus "une politique africaine de la France".
Faut-il, après tout ce qui suit, conclure à l'avènement prochain d'une nouvelle ère dans les relations franco-africaines et ceci sur les cendres de la France-Afrique ? Le Président français a dit et redit que la France n'a pas de leçons à donner à l'Afrique. Il a raison. Cela ne peut exonérer pour autant les Africains du devoir de tirer des leçons de leur marche chaotique plus que cinquantenaire, depuis les indépendances à ce jour. De quel mal souffre-t-elle l'Afrique ? Qu'est-ce qui atteste symboliquement du mal africain ? Diagnostic en quatre symboles sous le signe des quatre "B".
FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
SECTION DEPARTEMENTALE DU MONO
Tél :97514200-95155485
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DECLARATION
A propos des mensonges et calomnies du député Dakpè SOSSOU au sujet de l’affaire CNSS/BIBE
Il y a une semaine, le 25 novembre 2017, le député Dakpè SOSSOU a fait à Lokossa une sortie médiatique pour soi-disant donner une "CLARIFICATION SUR LE DOSSIER DE PLACEMENTS D’ARGENT PAR LA CNSS". Mais en guise de clarification, le député Dakpè SOSSOU a déversé des mensonges monstrueux, des calomnies grossières et étalé sa nature d’escroc pour apporter son soutien au montage révoltant du pouvoir de Patrice TALON contre Laurent METOGNON.
CONFEDERATION SYNDICALE DES TRAVAILLEURS DU BENIN (CSTB)
03 B.P. 932 Cotonou
Tél. : (00229) 67-08-61-14 (00229) 67-40-68-00
(00229) 64-58-00-86
Email :Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / SiteWeb : WWW.CSTB.bj
Cotonou, le 24 novembre 2017
Motion de grève
A
Madame la Ministre du Travail et de la Fonction Publique
Avant l’arrivée du gouvernement auquel vous participez, les travailleurs se battaient pour une politique qui garantisse les libertés démocratiques complètes, pour des salaires à la hauteur
du coût de la vie, pour l’égalité de chance à tous les fils et filles du pays dans l’accès aux
marchés publics, à l’instruction, à l’emploi et aux services sociaux. Contre la corruption, le vol et le pillage des deniers publics au sommet de l’Etat, dans l’administration publique, ils exigeaient le droit d’élire et de révoquer les gestionnaires des sociétés et services publics.
- Considérant que les travailleurs de tous les secteurs, de toutes catégories sont, arrivés au constat que la politique du président Patrice TALON est caractérisée par l’obsession de s’accaparer des secteurs vitaux du pays : port, coton, énergie et électricité, santé, télécommunications…,
COMMUNIQUE DE PRESSE DU PORTE-PAROLE DU FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
Détention politique et arbitraire de Laurent METONGNON et ses co-accusés : Fabrication de faux débat contradictoire !
Dans sa parution N°2957 de ce lundi 27 novembre 2017 à sa page 3, le journal ‘’La Presse du Jour’’ écrit :
«Me Bastien Salami au sujet de l’affaire CNSS/BIBE. "Laissez la justice faire son travail."
Membre actif de l’Union fait la NATION, Me Bastien SALAMI était l’invité de l’émission ‘’Version originale’’ de la Tvc, hier, dimanche 26 novembre 207. Cette émission qui a eu pour thème « lutte contre l’impunité : Quelle crédibilité pour le gouvernement Talon » a permis au professeur agrégé de droit à l’université d’Abomey-Calavi d’opiner sur l’affaire Cnss/Bibe. Il était en face du porte-parole du Fsp. » (souligné par moi)
FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
Cél : 97983565 / 97980179
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POINT DE PRESSE
Cotonou, Bourse du Travail, le 24 novembre 2017
A propos de mise sous mandat de dépôt de Laurent METONGNON :
Une grave attaque contre les libertés et la démocratie.
Mesdames et Messieurs les journalistes,
Camarades et chers amis,
Hier, 23 novembre 2017, au palais de la justice de Cotonou, il s'est passé quelque chose des plus horribles, des plus révoltantes : la mise sous mandat de dépôt de Laurent METONGNON et de cinq autres anciens directeurs et administrateurs de la CNSS dans un dossier que tout le monde sait vide.
En effet, nous avons, au niveau du FSP, dans un point de presse le 18 novembre passé, donné des informations sur le contenu du dossier. Rien dans ce dossier n'a évolué dans le sens de conduire à une mise en prison de Laurent METONGNON. Au contraire. Il demeure toujours et seulement que le DG de la BIBE, Monsieur BOCCO Romain déclare avoir envoyé par personne interposée et sans décharge au camarade Laurent METONGNON successivement un million de FCFA, puis cinq cent mille, ensuite cinq cent mille, et enfin du champagne et cinq cent mille soit au total deux millions cinq cent mille et du champagne. Il s'ajoute maintenant que les personnes supposées intermédiaires ont pendant l'enquête préliminaire rejeté l'ignoble accusation de l'ex-DG de la BIBE et ne se sont pas dédit devant le procureur, Gilbert Ulrich TOGBONON.