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Une lettre du Père Noël à mon cher Laurent, le brave
Cher ami et frère Laurent METOGNON, tu es et tu resteras pour moi, un grand homme et un intrépide combattant pour les droits de l'homme, l'égalité des chances, la morale en politique et la gouvernance publique. Tu as dédié toute ta vie à la lutte pour la dignité des pauvres, sauf les parvenus et les incultes l'ignorent, ceux-là même qui ont beaucoup de choses sur leurs consciences mais règnent à coups de marteau, de broyeurs et de canons. Vive le règne et la gloire des immortels à qui appartiennent l'océan, le cosmos, tout l'or et le diamant de la terre et tous les esclaves que nous sommes à leurs côtés, eux les supers puissances devant qui rien ne résiste et qui ont tout réussi dans leur vie sans aucune sueur des autres.
COMMUNIQUE
A PROPOS DU DISCOURS DU CHEF DE L’ETAT SUR L’ETAT DE LA NATION :
UN DISCOURS DECONNECTE ET NEGATEUR DE LA REALITE DU PAYS !
Comme prévu par la Constitution, le Chef de l’Etat a délivré hier, 22 décembre 2017, son discours sur l’état de la nation. Pour tous ceux qui ont eu le courage de le suivre ou de lire ce discours, on a l’impression que le Président Patrice Talon ne parle pas de ce pays, des peines de ses hommes et femmes, du désespoir de sa jeunesse. Alors au lieu d’un discours sur l’état de la nation, c’est-à-dire sur la situation actuelle dans laquelle a conduit sa politique, le Président s’est lancé encore dans la déclinaison de son programme, dans ses « Projet et Dessein » (sic) pour aligner les annonces pour 2018 et conclure, sans aucun élément probant et faute de perspectives réjouissantes pour le peuple, que « notre pays va de mieux en mieux et surtout ira mieux demain. » (sic). Ainsi, le discours du Chef de l’Etat est un discours déconnecté et négateur de la réalité du pays et de la vie de ses hommes.
COMMUNIQUE
A PROPOS DE LA VIOLATION DE LA CONSTITUTION ET DES LIBERTES DES DEPUTES PAR ADRIEN HOUNGBEDJI ET SON BLOC DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE.
Le 21 décembre 2017 devait avoir lieu à l’Assemblée Nationale outre l’adoption du budget 2018, l’exécution de l’injonction de la Cour Constitutionnelle, de désigner les membres de l’Assemblée Nationale devant siéger au Cos-Lépi.
Ce à quoi il a été donné au peuple d’assister, c’est à un spectacle où, un groupe accepte la vassalisation de l’Assemblée nationale au gouvernement et réprime les députés de l’autre camp jusqu’au sein du parlement. Ainsi, si en décembre 2015, l’adoption du budget était passée comme une lettre à la poste, depuis le 6 avril 2016, avec le rejet de la Constitution autocratique et la mise sur pied de la minorité parlementaire, les choses ont changé dans notre Parlement. Ces députés de la minorité parlementaire ont rédigé dans une déclaration à lire du haut de la tribune de l’Assemblée, la justification de leur rejet du projet de budget. Dans leur déclaration, la minorité parlementaire rejoint toutes les observations des partis et organisations démocratiques et de la société civile qui voit en ce budget, la poursuite de la politique anti-sociale du pouvoir autocratique.
PARTI POUR LA LIBERATION DU PEUPLE (PLP)
DECLARATION AU SUJET DE LA VIOLATION DE LA DECISION DCC 17-262 DU 12 DECEMBRE 2017 DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE ET LA DICTATURE INSTAUREE A L’ASSEMBLEE NATIONALE PAR LE TYRAN ADRIEN HOUNGBEDJI
21-12-17/17h24 : Le délai accordé à l’Assemblée Nationale pour désigner ses neuf (09) représentants devant siéger au COS-LEPI dans le cadre de l’actualisation de la liste électorale a expiré ce jeudi 21 décembre 2017.
Le Parti pour la Libération du Peuple (PLP) constate, avec regret, que l’Assemblée Nationale n’a pas respecté les injonctions de la Cour Constitutionnelle contenues dans sa Décision DCC 17-262 du 12 décembre 2017. Or, le respect de la Constitution et de l’ordre constitutionnel est un devoir sacré pour tout citoyen béninois, civil ou militaire. L’article 114 de la Constitution du 11 décembre 1990 stipule que : «La Cour Constitutionnelle est la plus haute juridiction de l'État en matière constitutionnelle. Elle est l'organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l'activité des pouvoirs publics». L’article 124 précise que «Les décisions de la Cour Constitutionnelle ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics et à toutes les autorités civiles, militaires et juridictionnelles».
ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITS
DE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)
2005 / 0061 / DEP - ATL -LITT / SG / SAG – Assoc-JORB N°4 du 15 février 2005
08 BP 1114 Cotonou (Rép. du Bénin)
Tél : (229) /97 68 49 31 / 97 39 10 22 / 97 26 36 20
COMMUNIQUE DE PRESSE
L’irruption du Préfet Toboula au tribunal de Cotonou est inadmissible !
Lors du procès ouvert le mardi 19 Décembre 2017 dans le dossier fabriqué contre Laurent Mètongnon (Dossier dit Affaire CNSS/BIBE), on a assisté à des scènes insolites et jamais vues dans notre pays. De quoi s’agit-il ?
Pendant que se déroulait le procès, le Préfet Toboula fait son apparition au tribunal avec une horde de policiers à la surprise générale des magistrats, avocats, agents et autres usagers du tribunal. Il se fait siffler et huer. Les jeunes venus nombreux pour soutenir les détenus politiques et exprimer leur mécontentement contre la justice instrumentalisée sont indignés. Déjà tôt le matin la salle d’audience où devait se dérouler le procès a été assiégée par un détachement de policiers et de gendarmes. L’accès était interdit et l’on croirait avoir affaire à une cour martiale.
FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
Cél : 97983565 / 97980179
COMMUNIQUE AU PEUPLE ET A L’OPINION INTERNATIONALE
Ce jour 19 décembre 2017, Laurent METONGNON et ses compagnons de prison se sont présentés devant le tribunal de Cotonou pour être entendus dans le dossier politique fabriqué de toutes pièces par le pouvoir de TALON contre l’organisateur principal du Front pour le Sursaut Patriotique afin de museler notre organisation. Depuis le 27 novembre 2017, Laurent METONGNON et ses coaccusés ont envoyé une lettre demandant au juge Rodolphe AZO, le juge qui a prononcé le non-lieu dans l’affaire de PPEA2 de se déporter. De leur côté les avocats des accusés avaient écrit pour récuser ce juge bien connu dans le milieu judiciaire, comme le Procureur Ulrich TOGBONON, pour sa proximité avec le pouvoir. Tout le monde s’attendait à ce que cette affaire soit confiée à un autre juge ou à un collège de juges comme cela se fait ordinairement quand un accusé soupçonne un juge de partialité et le récuse.