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MESSAGE DU PRESIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'INSTITUT INTERNATIONAL DE RECHERCHE ET DE FORMATION (INIREF)
CELEBRATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA LANGUE MATERNELLE
APPEL AUX DEMOCRATES ET AUX PATRIOTES
Le 21 février 2017, l'UNESCO va célébrer la Journée Internationale de la Langue Maternelle. Dans le communiqué diffusé par elle à cet effet et pour motiver le thème, il est écrit : « L'UNESCO soutient l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue par le biais de la Journée internationale de la langue maternelle (JILM). L'objectif général de la Journée est de contribuer à la promotion de l'éducation à la citoyenneté mondiale.
La cérémonie d'ouverture de la célébration se tiendra au Siège de l'Organisation le 21 février 2017. Des activités visant à promouvoir l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue seront organisées au niveau national.
L'UNESCO organise la célébration de la JILM 2017 autour du thème "Vers des avenirs durables grâce à l'éducation multilingue". La Journée sera en phase avec "L'éducation pour les peuples et la planète : créer des avenirs durables pour tous", thème du Rapport mondial de suivi de l'UNESCO sur l'éducation 2016. La JILM fait également écho à l'objectif 4.6 des Objectifs mondiaux du développement (ODD) : "D'ici à 2030, veiller à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d'adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter. ».
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Le vendredi 17 février 2017, jour de la conférence de presse des étudiants prévue pour se tenir à l'hôtel "Le Refuge" sis à Zogbadje des forces de l'ordre lourdement armées ont fait irruption sur les lieux pour empêcher l'évènement avec au dehors des véhicules anti émeutes qui aspergèrent les étudiants et les populations environnantes d'eau chaude pimentée. Nous avons été surpris par cet arsenal militaire déployé pour empêcher une simple conférence de presse qui devait avoir lieu en dehors du cadre universitaire, surpris parce que jusque là nous nous croyions toujours dans un pays démocratique où la liberté d'expression est garantie.
Nous venons ici condamner avec la dernière rigueur cet acte qui n'a un autre nom que la dictature, la violation des libertés individuelles et collectives chèrement acquises. Nous remercions tous ceux qui ont spontanément dénoncé la chose. Ceci prouve que les béninois quelque soit leur bord sont attachés à la liberté d'expression.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
Halte aux violences contre les revendeurs, vendeurs et artisans des villes!
Il n’est plus un secret pour personne aujourd’hui que les opérations de déguerpissement se déroulent dans un climat de terreur, d’arbitraire et de violence dans nos villes, surtout à Cotonou.
Pour inhiber toute velléité de résistances face à cet état d chose, le gouvernement de Patrice Talon déploie des contingents d’hommes en arme et même un char à jet d’eau chaude. L’assainissement que prônent le gouvernement et les gens à sa solde a-t-il besoin de tout ce déploiement ? Evidemment non.
Union Nationale des Scolaires et Etudiants du Bénin (UNSEB)
01 BP 1012 Cotonou, Tél: / 96252984/ 67844191/95270851/ ; Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;facebook: syndicat unseb
Enregistré au MISAT sous le N°94/168/MISAT/DAI/ASSOC du 05/10/94
SOUTIEN DE L’UNSEB A LA GREVE DES ENSEIGNANTS
Depuis quelques semaines, nos aînés enseignantes et enseignants de l’enseignement maternel et primaire sont en grève pour réclamer de meilleurs conditions de vie et de travail. Les mobiles de la grève sont liés aux principaux points que voici :
- Le respect des libertés syndicales;
- La prise des arrêtés d’applications du décret portant Statuts Particuliers des Corps Personnels de l’enseignement ;
- L’organisation des différents concours de recrutement (Enseignants, CAF-CP ; CAIP, Formateurs des ENI et consorts) pour mettre fin au déficit qui secoue le système éducatif.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
LE SITE DE SYNAPOSTEL EST REELLEMENT EN LITIGE.
L’idée de faire occuper le site de SYNAPOSTEL par les vendeurs, revendeurs et artisans ne date pas d’aujourd’hui. En effet, elle remonte en 2010 où le gouvernement de Boni YAYI avait décidé par l’intermédiaire de la SOGEMA d’y loger les Bonnes dames, vendeuses de crevettes et de poisson de Gbogbanou, victimes de l’opération dite «d’aménagement des berges lagunaires » dirigée à l’époque par le Ministre de l’environnement Blaise AHANHANZO GLELE. Mais face à cette décision de la SOGEMA, ces vendeuses de crevettes et de poisson s’y étaient opposées et ont réussi à la suite d’une série de manifestation à avoir une place au bord de la lagune à Dantokpa.
ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITS
DE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)
2005 / 0061 / DEP - ATL -LITT / SG / SAG – Assoc-JORB N°4 du 15 février 2005
08 BP 1114 Cotonou (Rép. du Bénin)
Tél : (229) 97 68 49 31 / 97 39 10 22 / 97 26 36 20
INTERDICTION D’OCCUPATION DES ESPACES PUBLICS PAR LES RELIGIONS
UNE MESURE ANTICONSTITUTIONNELLE INJUSTIFIABLE
Dans la suite de l’opération de déguerpissement forcé des espaces publics, le préfet du Littoral, Modeste Toboula a fait déguerpir les fidèles musulmans en pleine prière le vendredi 27 janvier à la mosquée centrale de Cadjèhoun à Cotonou. Devant les protestations des fidèles, de leur clergé et de l’opinion nationale, le gouvernement monte au créneau pour s’expliquer. Dans leur sortie médiatique chacun des ministres y est allé dans tous les sens. Voyons quelques-uns de leurs argumentaires rapportés par les journaux. Le ministre Djogbénou dit notamment : « …quelques soient les confessions : musulmanes, chrétiennes et religions endogènes, l’expression de la foi ne doit plus consister en l’occupation des espaces publics. Nous le faisons en application de la Constitution. Nous le faisons parce que le Bénin, notamment nos grandes villes, ont vocation à être des villes modernes. Il n’est pas non plus dit, qu’il n’y aura pas des espaces pour exprimer sa foi. Il y a des espaces comme les stades…..Désormais, vous imaginez que les grandes manifestations, le chemin de la croix par exemple, ne devraient plus être faits dans l’occupation des espaces publics…. » (Le Matinal N°5010 du 30 janvier 2017). Le ministre de l’intérieur Sacca Lafia renchérit : « Que ce soit une messe d’anniversaire, de décès ou une prière musulmane dans la rue, pour de simples mesures de sécurité, le gouvernement l’interdit....Un quidam peut foncer avec son véhicule sur des musulmans en pleine prière au bord des routes…. » (Idem).