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ADRESSE DE LA CSTB AUX TRAVAILLEURS
NOUS NE POUVONS PLUS CONTINUER DE PRODUIRE POUR LES POCHES DE PATRICE TALON ET SON CLAN
Le Comité Confédéral National (CCN) de la CSTB s’est réuni aujourd’hui jeudi 02 novembre 2017 pour examiner les conditions de vie et de travail des travailleurs sous la gouvernance du Président Patrice TALON depuis dix huit (18) mois qu’il est au pouvoir. Toute analyse faite le CCN est parvenu aux constats suivants : Les efforts déployés par le président ont consisté à l’accaparement des ressources du pays pour son propre compte et pour son clan. Tenez :
1- Domaine agricole : dès son entrée en fonction il a dissout toutes les sociétés et structures publiques pour l’AÏC, la SODECO et d’autres sociétés qui ne profitent qu’à lui et son clan. Tant pis pour les travailleurs de la SONAPRA, ONASA, ONS, CARDER, etc. les populations et le pays.
Même le parc PENDJARI a été cédé à ces amis affairistes sud africains ;
ORGANISATION POUR LA DEFENSE DES DROITS
DE L’HOMME ET DES PEUPLES (ODHP)
2005 / 0061 / DEP - ATL -LITT / SG / SAG – Assoc-JORB N°4 du 15 février 2005
08 BP 1114 Cotonou (Rép. du Bénin)
Tél : (229) /97 68 49 31 / 97 39 10 22 / 97 26 36 20
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le samedi 28 Octobre dernier, l’ODHP a co-organisé avec la diaspora togolaise au Bénin un rassemblement en solidarité avec le peuple togolais en lutte pour la démocratie et la bonne gouvernance. C’était à la bourse du travail de Cotonou. La mobilisation était très forte, ce qui témoigne de la détermination de frères du Togo et du Bénin à dire tout leur soutien aux combattants de l’intérieur dans cette épreuve de terreur du despote et ses hommes de main qui doit aboutir à ce que « FAURE DEGAGE » parce que « 50 ANS DE DICTATURE DE LA FAMILLE GNASSINGBE ÇA SUFFIT ! ».
FRONT POUR LE SURSAUT PATRIOTIQUE (FSP)
Cél : 97983565 / 97980179
CONFERENCE PUBLIQUE
A PROPOS DU RAVIP AVEC SAFRAN
Cotonou, CPA, le 26 octobre 2017
Introduction liminaire
Par Jean Kokou ZOUNON, Porte-parole du FSP
LE RAVIP AVEC SAFRAN : UNE ARNAQUE (OPERATION DE FRAUDE) TECHNIQUE, POLITIQUE, ELECTORALE ET FINANCIERE CONTRE LE PEUPLE BENINOIS.
Introduction
Le gouvernement de Patrice Talon projette organiser à partir du 1er novembre 2017 un Recensement initial administratif à vocation d’identification de la population (RAVIP) en vue de la mise en œuvre de la loi n° 2017-08 du 19 juin 2017 portant identification des personnes physiques en République du Bénin.
Le peuple qui a connu ces quinze dernières années une cascade de recensements administratifs (Ravec, Rena) et statistiques (RGPH3 et 4) se pose tout naturellement des questions sur les finalités et donc l’utilité et les véritables objectifs du gouvernement Talon.
Ces questions sur l’opération du RAVIP sont d’autant plus légitimes que l’opérateur technologique dit "assistant technique" SAFRAN est connu comme ne garantissant pas la transparence, ni la compétence en matière de recensement et/ou de travaux du genre en Afrique.
En réponse à ces questions légitimes, les autorités au pouvoir se sont lancées dans des explications et déclarations contradictoires pour finalement, comme à bout d’arguments, en venir aux menaces vertes et brutales contre tout citoyen qui oserait critiquer l’opération.
Alors, tout le monde peut sentir qu’il y a certainement anguille sous roche et que les mérites vantés des produits de cette opération ne seraient que de la fumée pour couvrir une vaste arnaque à laquelle le pouvoir de Talon nous a habitués depuis son arrivée.
Au FSP, nous disons que le RAVIP avec SAFRAN est une vaste arnaque technique, politique, électorale et financière contre le peuple béninois.
LE RAVIP : LES LIMITES D’UNE MASCARADE
(Une contribution d'Olivier FADO DOSSOU, analyste politique)
Consacré par la loi N°2017-08 du 19 Juin 2017, le RAVIP est le Recensement Initial Administratif à Vocation d’Identification de la Population béninoise. C’est une opération qui vise à octroyer à chaque citoyen, un Numéro Personnel d’Identification (NPI). Ce NPI est un numéro individuel, incessible et permanent (et vital, de la naissance jusqu’au décès !) qui doit être, dès octroi, utilisé essentiellement à titre personnel dans la réalisation de tout type d’actes à savoir : les actes civils, administratifs, sociaux ainsi que dans les transactions économiques et financières. Le RAVIP va démarrer le 1 er novembre 2017, il est prévu pour durer 6 mois. Probablement qu’il durera plus de 6 mois ! Le contexte, l’opportunité et les conditions de réalisation en font déjà une véritable mascarade.
Cotonou, le 23 octobre 2017
COMMUNIQUE de la CSTB aux militants du SYN-ER-BENIN et aux enseignants retraités.
La CSTB compte parmi ses syndicats affiliés, un syndicat des Enseignants retraités dénommé SYN-ER-BENIN. Ce syndicat qui fonctionne de façon autonome a l’habitude de solliciter la salle de conférence de la Confédération pour tenir ses Assemblées Générales et les réunions de son bureau.
Le lundi 09 octobre 2017, les responsables de la CSTB ont constaté une affluence inhabituelle d’enseignants retraités vers sa salle de conférence où se trouvaient des responsables du SYN-ER-BENIN. Surpris par une telle affluence le Secrétaire Général de la CSTB a interpelé, le même jour, les responsables du SYN-ER-BENIN sur la nature de l’activité qui mobilisait tant de retraités venant de partout. C’est alors que les responsables lui expliquèrent qu’ils s’agissait d’une assistance que le syndicat voulait porter aux retraités enseignants pour les aider à avoir les rappels de CRAPE3 pour ceux qui en sont concernés et de 1.25 pour tous ceux qui étaient intéressés.
Cotonou, le 23 octobre 2017
COMMUNIQUE
A
L’Adresse des militants de la CSTB et à tous les travailleurs.
Le vendredi 20 octobre 2017, dès 06 h 30 mn ont commencé par affluer à la bourse du travail de Cotonou des travailleurs de tous secteurs venant de tous les départements du Bénin. On y comptait des travailleurs salariés du public, du privé et ceux du secteur informel qui ont massivement répondu à l’appel des confédérations et centrales syndicales du Bénin.
Partis de la bourse du travail vers dix (10) heures, les manifestants visiblement révoltés par la gouvernance autocratique et prédatrice de Patrice TALON, scandaient des slogans et chansons et brandissaient des pancartes et banderoles qui traduisaient leurs diverses revendications et exprimaient leur colère. Tous les messages, écrits sur pancartes et sur banderoles ou encore scandés, rejetaient unanimement la privatisation des services publics, l’accaparement des biens publics par Patrice TALON, la confiscation des libertés démocratiques chèrement acquises, l’aggravation du chômage et de la faim, en un mot l’aggravation de la misère au profit de Patrice TALON et de son clan qui opèrent des réformes véritablement antisociales.