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S.O.S. ! Sauvez les responsables étudiants !
COMMUNIQUÉ
Nous, présidents de l'Union Nationale des Étudiants du Bénin (UNEB) et de l'Union Nationale des Scolaires et Étudiants du Bénin (UNSEB), informons le peuple béninois et la communauté internationale de la situation inquiétante que nous vivons depuis quelques jours.
En effet, nous recevons en permanence des appels et SMS de menaces venant des inconnues. De même, tous nos mouvements sont suivis de près par des personnes non encore identifiées qui nous filent de jour comme de nuit. Elles sont généralement à bord de véhicule personnel haut de gamme et prennent d'assaut nos zones de résidence respectives. Si depuis quelques jours, nous avons décidé de ne pas alerter l'opinion publique, les événements de la journée de ce mercredi 1er mars 2017 nous obligent à sortir de notre silence. Nous avons passé une journée difficile en courant de gauche à droite à la recherche d'abri, nos zones de résidence nous étant inaccessibles du fait de la présence desdites personnes. La chasse à notre personne s'est poursuivie jusque tard la nuit. Ce qui nous a obligés à fuir nos domiciles respectifs pour chercher refuge ailleurs.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
Le gouvernement de Patrice TALON met les revendeurs de médicaments dans la désolation.
Le vendredi 24 février 2017 le gouvernement du Président Patrice TALON, s’est une fois encore, dressé contre les revendeurs de médicaments dans nos marchés. Sur toute l’étendue du territoire national les forces de l’ordre ont fait irruption sur les lieux de vente et ont saisi des tonnes de médicaments. Par endroit comme Adjégounlè à Dantokpa, le gouvernement a déployé tout un contingent d’hommes en armes et même de char à jet d’eau chaude prêts à réprimer toute velléité de résistance.
Ce qui est paradoxale est que la SOGEMA qui perçoit des taxes auprès de ces revendeurs sait bien le genre d’activité que ceux-ci mènent. Pire, elle n’a organisé aucune sensibilisation ni donner un délai au-delà duquel cette opération se ferait.
Au cours de cette saisie, beaucoup de revendeurs absents ont vu leur baraque défoncer en vue d’accéder à leurs stocks de médicaments. De nombreuses arrestations ont été opérées. Par ailleurs, certaines informations font état de ce que des sous ont été aussi pris avec les médicaments.
MESSAGE DU PRESIDENT DU CONSEIL D'ADMINISTRATION DE L'INSTITUT INTERNATIONAL DE RECHERCHE ET DE FORMATION (INIREF)
CELEBRATION DE LA JOURNEE INTERNATIONALE DE LA LANGUE MATERNELLE
APPEL AUX DEMOCRATES ET AUX PATRIOTES
Le 21 février 2017, l'UNESCO va célébrer la Journée Internationale de la Langue Maternelle. Dans le communiqué diffusé par elle à cet effet et pour motiver le thème, il est écrit : « L'UNESCO soutient l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue par le biais de la Journée internationale de la langue maternelle (JILM). L'objectif général de la Journée est de contribuer à la promotion de l'éducation à la citoyenneté mondiale.
La cérémonie d'ouverture de la célébration se tiendra au Siège de l'Organisation le 21 février 2017. Des activités visant à promouvoir l'enseignement en langue maternelle et l'éducation multilingue seront organisées au niveau national.
L'UNESCO organise la célébration de la JILM 2017 autour du thème "Vers des avenirs durables grâce à l'éducation multilingue". La Journée sera en phase avec "L'éducation pour les peuples et la planète : créer des avenirs durables pour tous", thème du Rapport mondial de suivi de l'UNESCO sur l'éducation 2016. La JILM fait également écho à l'objectif 4.6 des Objectifs mondiaux du développement (ODD) : "D'ici à 2030, veiller à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d'adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter. ».
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Le vendredi 17 février 2017, jour de la conférence de presse des étudiants prévue pour se tenir à l'hôtel "Le Refuge" sis à Zogbadje des forces de l'ordre lourdement armées ont fait irruption sur les lieux pour empêcher l'évènement avec au dehors des véhicules anti émeutes qui aspergèrent les étudiants et les populations environnantes d'eau chaude pimentée. Nous avons été surpris par cet arsenal militaire déployé pour empêcher une simple conférence de presse qui devait avoir lieu en dehors du cadre universitaire, surpris parce que jusque là nous nous croyions toujours dans un pays démocratique où la liberté d'expression est garantie.
Nous venons ici condamner avec la dernière rigueur cet acte qui n'a un autre nom que la dictature, la violation des libertés individuelles et collectives chèrement acquises. Nous remercions tous ceux qui ont spontanément dénoncé la chose. Ceci prouve que les béninois quelque soit leur bord sont attachés à la liberté d'expression.
LE COMITE NATIONAL DES REVENDEURS, VENDEURS ET ARTISANS DU BENIN POUR LA LIBERTE ET LE PAIN (CO.NA.RA.B)
Tél: Cotonou : 97 72 80 65; Porto-Novo : 66 68 70 62 ; Abomey : 96 57 67 11; Parakou : 66 98 31 14
Halte aux violences contre les revendeurs, vendeurs et artisans des villes!
Il n’est plus un secret pour personne aujourd’hui que les opérations de déguerpissement se déroulent dans un climat de terreur, d’arbitraire et de violence dans nos villes, surtout à Cotonou.
Pour inhiber toute velléité de résistances face à cet état d chose, le gouvernement de Patrice Talon déploie des contingents d’hommes en arme et même un char à jet d’eau chaude. L’assainissement que prônent le gouvernement et les gens à sa solde a-t-il besoin de tout ce déploiement ? Evidemment non.
Union Nationale des Scolaires et Etudiants du Bénin (UNSEB)
01 BP 1012 Cotonou, Tél: / 96252984/ 67844191/95270851/ ; Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.;facebook: syndicat unseb
Enregistré au MISAT sous le N°94/168/MISAT/DAI/ASSOC du 05/10/94
SOUTIEN DE L’UNSEB A LA GREVE DES ENSEIGNANTS
Depuis quelques semaines, nos aînés enseignantes et enseignants de l’enseignement maternel et primaire sont en grève pour réclamer de meilleurs conditions de vie et de travail. Les mobiles de la grève sont liés aux principaux points que voici :
- Le respect des libertés syndicales;
- La prise des arrêtés d’applications du décret portant Statuts Particuliers des Corps Personnels de l’enseignement ;
- L’organisation des différents concours de recrutement (Enseignants, CAF-CP ; CAIP, Formateurs des ENI et consorts) pour mettre fin au déficit qui secoue le système éducatif.