Message de Monsieur Olympe BHÊLY-QUENUM
Garrigues-Sainte-Eulalie, 11/03/14
Homme à ne pas baisser les bras ni à demeurer bouche cousue quand son pays natal est en danger, l’information de l’AFP que je viens de lire m’a décidé à dénoncer encore sans nuances l’autocratie, la dictature, l’oppression et la répression caractéristiques du gouvernement de Monsieur Thomas Boni Yayi ; revenu au pouvoir par une forfaiture que sa clientèle de juristes véreux aurait dû dénoncer, l’entraîner devant la juridiction appropriée, il n’a pas hésité à déclarer qu’il mettrait le pays à feu et à sang.
Est-ce le portrait du Bénin qu’il veut exhiber comme preuve de sa haine pour ce pays qu’il n’aime pas ?
La répression exercée contre la manifestation des syndicalistes et des membres de la société civile, les traitements cyniques de la police contre les élèves du lycée Toffa, à Porto-Novo sont autant des dénis de démocratie que des crimes que le peuple ne doit ni oublier ni pardonner.
Avec Monsieur Thomas Boni Yayi qui peut m’envoyer ses sicaires, je déclare que le Bénin est un Etat de non droit qui a atteint le point de non-retour. Le peuple a le devoir de se mobiliser.
Olympe BHÊLY-QUENUM