Communiqué du Parti pour la Libération du Peuple (PLP) sur la privatisation sauvage, inhumaine et opaque des entreprises publiques
31-05-17 : Le bureau politique national du Parti pour la Libération du Peuple (PLP) s’est réuni ce mardi 30 mai 2017 à Cotonou, à 15 heures, pour se pencher sur la situation des entreprises publiques.
A l’ordre du jour était inscrit le point relatif au bradage tous azimuts du patrimoine national et des biens de l’Etat, dans des conditions totalement opaques par le Gouvernement dit de la «Rupture» et son Chef. C’est le cas de l’aéroport de Cadjèhoun, du port de Cotonou, des hôpitaux de zone, de la Sbee, du Cnhu, de toutes les structures sous tutelle du ministère de l’agriculture dont la Sonapra... La liste est longue.
APPEL AUX ZEMIDJANS DE PARAKOU
A RESSERRER LEURS RANGS POUR DEFENDRE PIED A PIED LEURS DROITS ET LEURS INTERÊTS CONTRE L’ADMINISTRATION MUNICIPALE ESCROC
Depuis la mise en place de l’Administration du maire Charles TOKO, les Zémidjans de Parakou n’arrivent plus à dormir parce que hantés et traqués par les assauts répétés de cette Administration contre leur corps afin de le spolier, le détrousser des petites recettes de survie qu’ils se procurent malgré tous les risques de braquages et l’ambiance économique morose actuelle.
Avant l’arrivée de l’Administration de la Rupture que dirige Charles TOKO et compagnie, les Zémidjans étaient organisés en syndicats enregistrés comme associations régies par la loi de 1901. Sur cette base, les Zémidjans étaient commis aux exigences financières suivantes :
Cotonou, le 31 mai 2017.
COMMUNIQUE AUX TRAVAILLEURS ET AU PEUPLE
C’est sur un fonds de mécontentement général et d’un ras-le-bol que toutes les Confédérations syndicales des travailleurs ont vidé la salle de conférence de l’INFOSEC cet après midi, laissant la délégation gouvernementale de six ministres conduite par le ministre d’Etat Abdoulaye BIO TCHANE.
De quoi s’agit-il ? C’est depuis le 13 avril 2017 qu’a été ouverte la 1ère session ordinaire de la Commission Nationale de Concertation et de Négociations Collectives Gouvernement/Confédérations Syndicales autour d’un projet d’ordre du jour qui ne prenait curieusement pas en compte les différentes revendications des travailleurs des ministères en grève notamment ceux de la santé, du développement rural et de l’éducation. Il a fallu que les Secrétaires Généraux des Confédérations réagissent avant que ces points et d’autres revendications ne soient inscrits à l’ordre du jour. Cette rencontre s’est essentiellement consacrée à l’adoption de l’ordre du jour.
ENQUETE EMPLOI DU TEMPS AU BENIN :
UNE INTERPRETATION TENDANCIEUSE DES RESULTATS PAR LES AUTORITES, POURQUOI ?
Début mai 2017, l’INSAE (Institut National de la Statistique et de l’Analyse Economique) a tenu un atelier de validation des résultats d’une enquête sur « l’emploi du temps » des Béninois. Cette enquête est un sous-volet du volet « emploi » de l’EMICOV (Enquête Modulaire Intégrée sur les Conditions de Vie des Ménages), réalisée de mars à juin 2015.
Parmi les résultats mis en relief et commenté par les autorités du Ministère de tutelle, en l’occurrence le Directeur du Cabinet du Ministère du Plan et de Développement, et abondamment repris par la presse, il y a la durée moyenne consacrée par le Béninois au travail, entendez aux activités économiques. Sortant tout de son contexte de référence, il est dit et repris par la presse que le Béninois travaillerait en moyenne 3 h 30 en moyenne par jour, et que le salarié béninois, et pire, que le fonctionnaire béninois travaillerait en moyenne 3 h 30 sur les 8 heures exigées de lui.
COMMUNIQUE FINAL
Le 28 mai 2017 sur l’initiative du Comité d’Organisation du Parti Communiste du Bénin (PCB) de la Ville de Parakou, a été réunie une conférence constitutive du Comité Départemental du Front pour le Sursaut Patriotique du Borgou CDFSP/BORGOU dans les locaux du complexe scolaire de SINANGOUROU de Parakou. Le thème de cette rencontre historique est libellé comme suit : LE PAG DU PRESIDENT TALON ET LES PROBLEMES BRÛLANTS DE LA POPULATION DE PARAKOU.
Chronique
Quand la justice ne passe pas...
(Par Roger Gbégnonvi)
Le non-lieu rendu le 16 mai 2017 dans les ténèbres de PPEA2 a troublé jusqu’aux consciences endurcies. Un pays ami offre au Bénin plus de huit milliards f CFA pour l’aider à fournir de l’eau potable aux populations qui en ont besoin. L’argent disparaît sans avoir été détourné, mais seulement ‘‘désorienté’’ (sic), dévié de l’eau potable. La justice est passée et n’a pas relevé de faute. Non-lieu ! Que fera l’Ambassadeur des Pays-Bas pour ne pas paraître complice de ladite désorientation ? Il prend ‘‘Visage de la corruption au Bénin’’ et le médite en son chapitre 8ème sobrement intitulé : ‘‘Une odeur de pourriture dans la maison justice’’.